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Toutes les news des Rolling Stones par un fan pour les fans. Actu Rolling Stones et rock en général. Ce blog est interactif, vos commentaires sont bienvenus !
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30 commentaires:
Hello ,
Prix à l'unité ou du lot ?
Come on baby light my fire !!
38 € le lot, j'ai 2 lots complets de dispo mais pas le temps de gérer des envois ==> en main propre sur Paris/La Défense début juillet
Tres jolis
Je ne comprends pas pourquoi ils mettent en avant cette langue Voodoo Lounge grossière alors que celle sur l'album est bien plus détaillé et bien plus jolie
Et hop,Play With Fire sur ma Turntable !
Y'a t'il mieux à leur sujet?
4 étoiles sur R'n'Folk?
Franchement...
Voici ma nouvelle chronique : IT’S ONLY ROCK ‘N ROLL (1974)
Face A
- If You can’t rock me
le lent et inexorable déclin (avec le recul ça s'est confirmé) entamé avec GOATS trouve son illustration avec ce titre intro un peu trop accrocheur pour être honnête. Il ne deviendra pas un classique.
- Ain’t too proud to beg
L’amour du groupe pour la musique black, quand c’est pas le blues c’est la soul. Reprise plutôt réussie même si on a hâte d’arriver au bout assez rapidement...
- It’s only rock’n roll (but i like It)
rock à la Chuck. Une production réussie, un son magique. Un des titres emblématiques des 70’s. Une vidéo marquante aussi. Un classique du groupe et du rock.
- Till the next Goodbye
un chef-d’œuvre. Rien de plus à dire tellement c’est beau et inspiré.1ère pépite intemporelle de l’album. J’aurais aimé l’entendre sur Beggars Banquet avec Brian Jones.
- Time waits for no one
2ème chef-d’œuvre. Le cadeau de départ de Mick Taylor au groupe. 2ème pépite. Intemporel ?....Time waits...
Face B
- Luxury
Même commentaire que le premier titre de la face A. Pas convaincant, voire presque fatiguant à écouter jusqu’au bout.
- Dance little sister
J’ai toujours eu un faible pour ce morceau plutôt faible mais attachant par sa production. Je l’aime.
- If You really want to be my friend
un faux bon morceau. Ce n’est pas les Rolling Stones (qui est venu foutre son bordel ici ?...) Appétissant comme une pâtisserie, mais au bout de cinq écoutes vous faites raoul. Apport en mauvais cholestérol assuré.
- Short and curlies
morceau presque insignifiant. Une version folk ou blues de ce titre reste un fantasme.
- Fingerprint File
les Stones refont Goin’ home en 74
Un titre que tu aimes un jour et que tu n’aimes plus un autre jour.
Conclusion :
chute brutale avec ce LP qui n’est que l’ombre des Exile, Sticky, Bleed, Beggars.
2 pépites tout de même qui sauvent du naufrage. But I like It ? Oui quand même.
A bientôt pour une nouvelle chronique !!
Doc mail envoyé ! Merci. Je ne les ai vu qu’à beaucoup plus cher sur eBay...
Chronique IORR suite :
à la place d’un ou deux titres en dessous (y’a le choix) j’aurais mis THROUGH THE LONELY NIGHTS, une des plus belles ballades des Stones.
Comme le philosophe se risque à une vraie chronique de IORR, je prends le risque de lui dire que je suis à 90% d'accord avec son contenu. Les 10% de désaccord concernent Fingerprint File qui ne me fait pas penser à Goin'Home mais à quelque chose de neuf dans le style hard soul noirâtre. Le climat lourd et obsessif de ce morceau (avec Jagger à la guitare rythmique) est satanément enveloppant.
"Chute brutale" ? Pas vraiment. Ils descendent les marches de l'Olympe... Ce que je n'aimais pas trop sur le vinyle d'origine, c'était le son de ce LP : froid et mat, pétrifié comme l'escalier de la pochette.
Allez, sleep tight !
BHL et sa "Chronique" pourrie (et ses préjugés à 2 balles) me donne envie d'aller écouter Voodoo Lounge...
Merci de ne pas déraper dans les commentaires !
Ma prochaine chronique sera livrée le week-end prochain. Un LP des Stones des années 80 !
Tous aux abris le djihadiste anti stones va commettre un nouvel attentat
Through The Lonely Nights est un titre issu des sessions de Goat's Head Soup.
Encore tout faux le philosophe de comptoir!
Sauf que c’est en face B du 45T de It’s only rock’n roll .... donc même issu d’une session d’un LP précédent THROUGH THE LONELY NIGHTS est sorti en 74 en même temps que l’album et aurait pu s’y trouver.
Un peu hors sujet l’anonyme courageux.
Bon week-end !
D’autres titres de sessions antérieures ont vu leur sorties quelques années après sur un autre LP. A titre d’exemple : Start Me Up.
Et tant d’autres...c’est comme ça...
C'est la donation Taylor... Qui n'a rien à voir avec la Fondation Taylor qui soutient les artistes depuis 1844. Sauf que Mick Taylor était bien un artiste quand les pierres dévalaient. Il faudra un jour rouvrir le débat sur la compatibilité du rock avec l'art, ici ou ailleurs.
"short & curlie" fait partie pour ma part des 2 ou 3 morceaux qui ""sauvent"" l'album.
ah oui...je trouve "time waits for no one" assez insupportable..
En tous cas, rétrospectivement, album bien terne où rares sont les titres qui s'approcheraient ne serait-ce que d'un "hide your love"
Pour le philosophe le docteur ajayi peut il faire quelques choses ? notre dernier recours
Toutes mes chroniques stoniennes seront publiées dans un livre « SOME LP »
Aux éditions BHL
😉🤣
Doc pas moyen de négocier un envoi postal ?
Vous êtes mon seul espoir de trouver sans galérer...
BHL = Bullshit at High Level?
Pour un post sur les briquets, on peut dire que dans les commentaires, ça allume !!!! Bref, sérieusement, album opportuniste, la cause ? Sortir iorr d’urgence et placer les morceaux en stock pour remplir et avoir du nouveau pour partir en tournée. Ce sera comme ça dorénavant, gérer une image et balancer à chaque album un hit (tendance danse floor), une ou deux pépites puis du remplissage caricaturale.....suivront les Crazy mama, lies , when the whip combes down, Where the boys are Go, she was hot, Let me go, all the Way down, too tough, il must be hell, etc, etc
D’ailleurs, à partir de cet album, les sessions d’enregistrements ressembleront à un marathon où chacun des glimmer twins viendra avec son lot de compos bien distinctes, se croiseront, les autres membres s’y colleront plus ou moins joyeusement, et que le marketing tentera via les photos de groupe de gommer. Le début de la fin pour moi, lors de la tournée Still Life avec le bandeau lumineux au-dessus de la scène avec « mick Jagger et les Rolling stones », le paroxysme de cette descente sera atteint sur Darty Work. Après ce sera bisous et câlins forcés gérés par avocats jusqu’aux tournées des années 2000 aux set lists Best of et cash converter.. Chacun s’en contentera Pour poursuivre son rêve, ......ou pas. J’attends donc avec curiosité la prochaine chronique annoncée du philosophe Bonne journée, et prenez soin de vous !!!!
Moi aussi 😃
C'est assez comique, la référence aux set-lists best-of. Car s'est justement l'inverse qui s'est produit: il a fallu attendre le Voodoo Lounge Tour 94-95 pour voir enfin les set-list varier. Et cette tendance attendra son sommet dans les années 2000, justement, lors du Licks Tour.
C'est seulement à partir de 2012 que ça se repasse en pilotage automatique, avec cependant 1 ou 2 titres rares par soirée et quelques belles variations (7 titres différents entre les 2 Chicago 2019). Dans le même genre, on avait eu droit à 8 titres différents (sur 18 ou 19), entre Paris et Lyon en 2007.
Oui, on peut toujours trouver de ci de là des contre exemples, (surtout quand les stones avaient un nouvel album à défendre), c’est une tendance générale, pas le temps de disséquer chaque concerts. il suffit de consulter les set lists des 20 dernières années. Si quelques titres changent, rares sont les vraies surprises !!!! Plus de stades, et salt of the heart à la place de ycagwyw, Child of the moon à la place de paint it black, Coming down Again à la place de slipping away, country honk à la place de htw seraient des surprises, pas when the whip Comes down à la place de beast of burden ou dead flowers à la place de let it bleed......pardon.....tu me diras, il y a bien eu play with fire ou dancing with mr D, Eh oui, on arrête pas le progrès.
Tout ça pour dire que les set-list de chaque tournée de 69 à 82, passées les 2 ou 3 rarities mal jouées sur les 1ères dates (Ventilator Blues, Torn And Frayed, 100 Years Ago, Silver Train, Dance Little Sister, Tops, entre autres...) ne bougeaient plus d'un poil.
Sans oublier qu'il a fallu attendre, par exemple, 1989 pour entendre 2000 Years, 1994 pour Monkey Man, 1997 pour Sister Morphine, 2003 pour CYHMK. Bref, faut voir aussi le côté positif de cette longévité.
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