Aujourd'hui, nous fêtons 3 choses :
- la Saint Nicolas, très célébrée en Belgique comme en Alsace,
- le 100e post paru sur DoctorStones, le blog,
- les 40 ans d’un des tous meilleurs albums des Rolling Stones : Beggars Banquet,
sorti dans les bacs le 6 décembre 1968 (c’était un vendredi).
Beggars Banquet s’est classé à la 3e place du top albums en Grande Bretagne, la 5e place aux USA, mais la 1ère place en France !
Avec Let It Bleed et Sticky Fingers, il fait partie à mon sens des 3 albums des Rolling Stones qui devraient se trouver dans la cédéthèque de tout amateur de rock.
Il est également le dernier album du groupe auquel Brian Jones a participé.
Cet album est tout simplement gavé de chansons incontournables, de l’utra-classique Sympathy For The Devil à l’émouvant Salt Of The Earth, en passant par des sommets tels que No Expectations et Stray Cat Blues. Il fait vraiment partie de ces rares albums dans lesquels rien n’est à jeter, et c’est avec un réel plaisir que je l’écoute en écrivant ces quelques lignes, même si je regrette qu'aucune édition spéciale n'ait été prévue pour fêter cet évènement, alors qu'il existe plus de matériel qu'il n'en faut pour offrir aux fans une édition luxueuse et agrémentée de bonus...
Toute la quintessence du son des Rolling Stones est contenue dans ce disque : les riffs imparables de Keith Richards, l’attitude de Mick Jagger, l’ambiance "crasseuse" et malgré tout, une production subtile de Jimmy Miller, qui collabore là pour la première fois avec les Stones.
Pour ce qui est de la pochette, les immondes WC bien connus des éditions CD avaient été refusés par DECCA à l’époque, et la bataille entre le groupe et la maison de disques avait d’ailleurs retardé la sortie de l’album, qui finit par sortir avec une couverture ressemblant à un carton d’invitation au fameux banquet, auquel on était prié de répondre : R.S.V.P.
J’espère que vous serez nombreuses et nombreux à profiter du weekend pour vous accorder un moment de détente et réécouter ce monument musical du XXe siècle.
Avec Let It Bleed et Sticky Fingers, il fait partie à mon sens des 3 albums des Rolling Stones qui devraient se trouver dans la cédéthèque de tout amateur de rock.
Il est également le dernier album du groupe auquel Brian Jones a participé.
Cet album est tout simplement gavé de chansons incontournables, de l’utra-classique Sympathy For The Devil à l’émouvant Salt Of The Earth, en passant par des sommets tels que No Expectations et Stray Cat Blues. Il fait vraiment partie de ces rares albums dans lesquels rien n’est à jeter, et c’est avec un réel plaisir que je l’écoute en écrivant ces quelques lignes, même si je regrette qu'aucune édition spéciale n'ait été prévue pour fêter cet évènement, alors qu'il existe plus de matériel qu'il n'en faut pour offrir aux fans une édition luxueuse et agrémentée de bonus...
Toute la quintessence du son des Rolling Stones est contenue dans ce disque : les riffs imparables de Keith Richards, l’attitude de Mick Jagger, l’ambiance "crasseuse" et malgré tout, une production subtile de Jimmy Miller, qui collabore là pour la première fois avec les Stones.
Pour ce qui est de la pochette, les immondes WC bien connus des éditions CD avaient été refusés par DECCA à l’époque, et la bataille entre le groupe et la maison de disques avait d’ailleurs retardé la sortie de l’album, qui finit par sortir avec une couverture ressemblant à un carton d’invitation au fameux banquet, auquel on était prié de répondre : R.S.V.P.
J’espère que vous serez nombreuses et nombreux à profiter du weekend pour vous accorder un moment de détente et réécouter ce monument musical du XXe siècle.
Qui dit 6 décembre dit aussi 6 décembre 1969, et le tristement célèbre concert gratuit des Rolling Stones à Altamont, en Californie. C’était la fin des années 60, la fin des années Peace And Love, et on y reviendra peut-être plus en détails l’an prochain.
1 commentaire:
Belle hommage !
BB est vraiment un incontournable, C sympa de le souligner et de le celebrer
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