Merci à Gwen pour ce compte-rendu des 2 prestations de Ronnie à Londres mardi.
He feels like playing… and we feel like dancing!
C’est à 19h00, à temps pour le premier set, que le taxi, sorti du traffic jam Londonien depuis Saint Pancras, m’a déposé près de l’Ambassador’s Theatre.
J’ai vite repéré celui qui m’avait confirmé 3 heures auparavant un ticket pour le premier show. Encore stressé par ma course, je n’ai même pas réalisé ce qu’il me tendait. Quelques minutes après, en entrant dans la salle, ça a tilté – B3, pas de A, Front Row !
Belle surprise… Déjà, je retrouve des connaissances de France, d’Europe ou d’ailleurs…
A l’heure pile, Mister Big nous promet un grand moment de rock’n’roll et annonce 8 morceaux du dernier album. Thing About You ouvre les hostilités et je découvre un Ronnie que ceux de ma génération ne connaissent pas… Concentré, pertinent, agile… La set list circule un peu partout, 8 morceaux issus de I Feel Like Playing donc, puis des reprises des Faces, des Stones et de Ray Charles, le tout arrosé de… Coca Cola.
Un groupe solide, un unique invité, et les percussions de Stomp sur trois morceaux, ce qui me laissent de prime abord dubitatif...
Forcément humble, Honest Ron sait laisser sa place lorsque c’est nécessaire. A ses musiciens, mais surtout au chant à Bernard Fowler et aux deux choristes. Il est en pleine forme, souriant, de superbe humeur, bavard…
Il prend même le temps de remercier le crazy fan de la soirée avant de lui lancer un médiator. Une demande pour Josephine le laissera toutefois perplexe.
Highlights ? Lucky Man tient toutes ses promesses sur scène, I Gotta See très émouvant et l’occasion d’un superbe solo. L’expérience Stomp ? Un gros risque qui paye. Spoonful explose, l’anecdotique Fancy Pants groove à mort et Plynth reprend vie et évoque Prodigal Son...
L’hommage à Ronnie Lane, chanté par Kelly Jones, donne à Ron l’occasion de nous donner une leçon de slide en open E. Et Stay With Me donne envie… de rester pour le second show.
Deuxième set donc, set list identique. Décevant ? Non, je suis au milieu de la salle cette fois, pour un autre point de vue, un autre son, une autre ambiance...
Un Ronnie déchaîné remonte sur scène, plus joueur, pour un show plus énergique… malgré un début plus chahuté…
En clôture, Jumpin’ Jack Flash, moins intense que celui du premier show, ouvre la porte à d’autres aventures… comme le « I’ll see you soon » lancé par Ronnie en quittant la scène.
He feels like playing… and we feel like dancing!
C’est à 19h00, à temps pour le premier set, que le taxi, sorti du traffic jam Londonien depuis Saint Pancras, m’a déposé près de l’Ambassador’s Theatre.
J’ai vite repéré celui qui m’avait confirmé 3 heures auparavant un ticket pour le premier show. Encore stressé par ma course, je n’ai même pas réalisé ce qu’il me tendait. Quelques minutes après, en entrant dans la salle, ça a tilté – B3, pas de A, Front Row !
Belle surprise… Déjà, je retrouve des connaissances de France, d’Europe ou d’ailleurs…
A l’heure pile, Mister Big nous promet un grand moment de rock’n’roll et annonce 8 morceaux du dernier album. Thing About You ouvre les hostilités et je découvre un Ronnie que ceux de ma génération ne connaissent pas… Concentré, pertinent, agile… La set list circule un peu partout, 8 morceaux issus de I Feel Like Playing donc, puis des reprises des Faces, des Stones et de Ray Charles, le tout arrosé de… Coca Cola.
Un groupe solide, un unique invité, et les percussions de Stomp sur trois morceaux, ce qui me laissent de prime abord dubitatif...
Forcément humble, Honest Ron sait laisser sa place lorsque c’est nécessaire. A ses musiciens, mais surtout au chant à Bernard Fowler et aux deux choristes. Il est en pleine forme, souriant, de superbe humeur, bavard…
Il prend même le temps de remercier le crazy fan de la soirée avant de lui lancer un médiator. Une demande pour Josephine le laissera toutefois perplexe.
Highlights ? Lucky Man tient toutes ses promesses sur scène, I Gotta See très émouvant et l’occasion d’un superbe solo. L’expérience Stomp ? Un gros risque qui paye. Spoonful explose, l’anecdotique Fancy Pants groove à mort et Plynth reprend vie et évoque Prodigal Son...
L’hommage à Ronnie Lane, chanté par Kelly Jones, donne à Ron l’occasion de nous donner une leçon de slide en open E. Et Stay With Me donne envie… de rester pour le second show.
Deuxième set donc, set list identique. Décevant ? Non, je suis au milieu de la salle cette fois, pour un autre point de vue, un autre son, une autre ambiance...
Un Ronnie déchaîné remonte sur scène, plus joueur, pour un show plus énergique… malgré un début plus chahuté…
En clôture, Jumpin’ Jack Flash, moins intense que celui du premier show, ouvre la porte à d’autres aventures… comme le « I’ll see you soon » lancé par Ronnie en quittant la scène.
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